Réveil musical Naïri et petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
4 participants
Page 1 sur 1
Réveil musical Naïri et petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
Acheté pour une bouchée de pain, ce réveil mécanique Naïri des années '70 produit par la Fabrique de Montres d'Erevan, avec une alarme musicale mécanique de type "boîte à musique" (un cylindre tournant, garni de pointes en laiton qui soulèvent puis relâchent des lames en acier accordées).
Le boîtier (178x70x47mm) est en plastique, et le mécanisme est produit par la Fabrique de Réveil-matin Tochmash de Vladimir dont je vous avais présenté l'histoire ici, et au logo similaire de la 2FMM ce qui provoque parfois des confusions.
(l'image du mécanisme n'est pas celle du mien, mais c'est exactement le même sauf que le "peigne" musical du mien est intact)
Le Naïri est une région/nation mentionnée en 1400 avant JC, située à l'ouest de Van, idéalisée dans la littérature arménienne, la marque est le plus souvent associée aux montres-bracelets bijoux (en or ou plaquées or) pour femme produites par cette même Fabrique de Montres d'Erevan.
La boîte à musique joue l'air de "La steppe tout autour" ("Степь да степь кругом"), une chanson populaire russe dont voici les paroles :
Steppe, steppe infinie,
Le chemin s'étend loin devant nous
Et dans cette steppe profonde
Un cocher gît mourant.
Il a rassemblé toutes ses forces,
Comme il sentait la mort approcher,
Et a donné l'ordre
À son camarade:
"Mon cher ami,
Ne pense pas aux mauvais moments,
Mais enterre moi ici
Dans cette steppe profonde.
Donne à ma femme
Un mot d'adieu;
Et rends lui
Cette bague de mariage.
Et dis-lui que je suis mort ici,
Dans la steppe glacée
Et que j'emporte avec moi
Son amour. "
Vidéo de la musique interprétée par les choristes de Voronej en 1967 :
Et voici mon réveil en train de sonner :
Comment cela arrivait à réveiller qui que ce soit, mystère! mais j'adore...
Et dans la foulée, voici une...
Petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
L'ordre du gouvernement N°200 du 5 mars 1945 décidait la création d'un fabrique de montres en Arménie soviétique, à Erevan et une autre à Léningrad (la Fabrique de montres électriques de Léningrad, Электрические часы Ленинграда, future Chronotron).
Dans les années 50, la Fabrique de Montres d'Erevan (Ереванский часовой завод = ЕЧЗ) était devenu une immense entreprise, spécialisée dans la production de réveils matin et horloge de bureau de marque Sevani, Nairi et ЕЧЗ pour l'URSS, et Erevan pour l'exportation. Elle avait une capacité de production de 2,5 millions de réveils par an et exportait de 82 pays.
La chaîne de production
Réveil portant sur le cadran le logo avec le nom de la fabrique: Ереванский часовой завод
Ses modèles les plus célèbres sont le Sevani 6073 (avec un calibre à rubis) et le Sevani 5672 à 11 rubis, qui avait, en plus de la sonnerie, un dispositif musical. Un tel dispositif était aussi monté sur des réveil de marque Nairi. La fabrique d'Erevan ne produisant pas de mouvements, elle emboîtait dans ses réveils-matin des mécanismes produits par la Fabrique de Mécanisme de Précision TOCHMASH (cette dernière usine, implantée en 1933 dans la ville de Vladimir, produisait notamment des horloges de marque Vesna, "printemps").
La Fabrique de montre de Erevan produisit aussi de belles et rares montres-bracelet en or pour hommes et pour femme de marque Nairi. L'usine d'Erevan ne fabriquant pas de mouvement, ces montres emboîtaient des calibres produits par les fabriques de Moscou N°1 (2409, 2614.2H,...) et d'Ouglitch (1601A). La ligne de production des montres Nairi, à Erevan, a appartenu à une entité distincte de la Fabrique de montres d'Erevan, qui sappelait Ереванский завод художественных часов : Fabrique de montres d'art d'Erevan. Cette ligne de production fabriquait aussi des bracelets et des pendentifs en or qui étaient envoyés à d'autres Fabriques de montres (par exemple celle d'Ouglitch) pour y insérer des montres pour dame.
Une Naïri en or
Après l'effondrement de l'URSS, l'usine arrêta ses activités en 1991, puis les reprit sur une moindre échelle ; elle a été privatisée en 1995, des capitaux suisses s'y sont investi, et l'usine continue à produire, employant 450 personnes.
Le bâtiment de la fabrique0 aujourd'hui
Témoignage d'une ouvrière (traduction maison) :
Je m'appelle Emma Zakarian, j'ai 71 an, j'ai travaillé dans la fabrique de montres d'Erevan, en Arménie. J'avais environ 35 ans quand j'ai commencé à y travailler. J'avais choisi ce travail. C'était une usine propre. J'ai travaillé sur divers petites réveils-matin. Il y avait trois étages et de nombreuses pièces. Dans chaque pièce il y avait un type différent de travail. L'usine était un grand bâtiment gris, isolé, avec d'immenses portes en façade.
Je travaillait sur le ruban convoyeur. Les gens étaient assis sur deux files, de chaque côté de la machine. Pendant trois jours, nous devions être certaines que toutes les réveils fonctionnaient, et si il y en avait qui ne fonctionnaient pas correctement, nous devions les renvoyer pour qu'ils soient réparé. Tout devait être propre. Si vous constations que les réveils fonctionnaient parfaitement, alors nous les envoyions pour qu'ils soient vendus. Il y avait beaucoup de personnes qui travaillaient là, peut-être une centaine qui s'occupaient de deux cent montres. Je devais travailler 8 heures par jour. La fabrique n'était pas loin de ma maison : seulement à trois rues de distance.
Nous avions un instructeur qui nous venait nous expliquer comment améliorer notre travail, parce que chacun fait une partie de la tâche, et que si une personne faisait quelque chose de travers, cela affectait tout le monde. J'ai travail dans deux postes différents. Le premier où l'on réparait les montres, le second où on les montait. Nous vérifions si tout fonctionnait parfaitement. Dans une pièce il y avait toutes les montres dont nous devions nous occuper. Nous devions nous en occuper pendant huit heures, et il n'y en avait pas qu'une ou deux, mais beaucoup. Nous n'étions que trois dans cette pièce.
Toutes les sections étaient dans la même usine, juste à des étages différents. Travaillant avec le ruban convoyeur, nous devions travailler rapidement pour ne pas sauter quelques montres. S'il y avait une erreur, nous entraidions et corrigions cela rapidement ensemble, comme un groupe.
Dans l'usine, il avait-il beaucoup de monde, surtout en groupes, parce qu'il y avait beaucoup de montres. Dans la section où mon groupe et moi vérifions une dernière fois les montres, nous n'étions que trois. Le temps filait. Ce n'était pas très strict, nous nous installions ou nous asseyions à notre convenance.
Nous avions eu un temps déterminé pour manger, et des pauses d'environ une demi-heure. Nous nous chronométrions nous-même, ce qui était une façon pour nous de vérifier si les montres fonctionnait bien. Si quelqu'un avait besoin d'aller aux toilettes hors des temps de pause, il demandait à un autre de surveiller son poste pendant un moment, parce que si il partait simplement, tout le monde était dans l'embarras. Nous veillons les uns aux autres.
Si nous étions malades, une autre personne venait prendre notre place pour la journée. Il était essentiel que quelqu'un soit là tout le temps. Si c'était un de ces jours où vous étiez allé au travail, et où vous aviez commencé à vous sentir mal, vos collègues de travail aidaient.
Je n'ai jamais été blessée en travaillant là parce que je travaillait sur de petites montres et sur des réveils-matin. Comment quelque aurait-il pu se blesser ? La fabrique était très propre, mais ma santé n'était pas très bonne. Je ne pouvais aller travailler dans un endroit sale où l'on était payé mieux parce que je surveillais ma santé pour ne pas être une personne dont on devrait prendre soin.
Quand nous attendions que le ruban convoyeur se mette à tourner, nous pouvions nous asseoir et papoter. Nous n'étions pas toujours occupées. La fabrique était très bruyante. Le bruit des machines nous gênait quelquefois, mais quand nous parlions entre nous, nous ne le remarquions pas.
Les hommes et les femmes avaient un travail égal. Ils pouvaient travailler dans toutes les sections. Tout ce qui était requis était une bonne coordination entre l'oeil et la main. Parfois deux personnes travaillaient ensemble à une même montre.
Une journée typique commençait par le lever du matin, la préparation du casse-croûte et la sortie précipitée de la maison. J'étais amie avec mes collègues et nous partagions la nourriture. Je faisait le repas pour mes amies un jour et les autres jours elles le faisaient pour moi. Durant le repas, nous parlions de nos familles, de nos amis, ou simplement de ce qui s'était passé à la maison parce que durant les heures de travail, il n'était pas toujours possible de s'asseoir et discuter. Nous nous aimions bien et ainsi le travail ne nous a jamais ennuyé. Il y avait quelquefois des promotions lorsque le travail avait été très bien fait.
Il était assez facile d'obtenir un travail là parce que la fabrique avait besoin de nombreux travailleurs. Je n'ai jamais travaillé dans un poste dur, parce que je savais qu'après une longue journée de travail, je devais rentrer à la maison et m'occuper de plein de tâches domestiques. Quelques rares fois, il nous ont appelé au travail un samedi, mais jamais un dimanche. Mon mari était hospitalisé et je devais seule prendre soin de toute ma famille.
source
Le boîtier (178x70x47mm) est en plastique, et le mécanisme est produit par la Fabrique de Réveil-matin Tochmash de Vladimir dont je vous avais présenté l'histoire ici, et au logo similaire de la 2FMM ce qui provoque parfois des confusions.
(l'image du mécanisme n'est pas celle du mien, mais c'est exactement le même sauf que le "peigne" musical du mien est intact)
Le Naïri est une région/nation mentionnée en 1400 avant JC, située à l'ouest de Van, idéalisée dans la littérature arménienne, la marque est le plus souvent associée aux montres-bracelets bijoux (en or ou plaquées or) pour femme produites par cette même Fabrique de Montres d'Erevan.
La boîte à musique joue l'air de "La steppe tout autour" ("Степь да степь кругом"), une chanson populaire russe dont voici les paroles :
Steppe, steppe infinie,
Le chemin s'étend loin devant nous
Et dans cette steppe profonde
Un cocher gît mourant.
Il a rassemblé toutes ses forces,
Comme il sentait la mort approcher,
Et a donné l'ordre
À son camarade:
"Mon cher ami,
Ne pense pas aux mauvais moments,
Mais enterre moi ici
Dans cette steppe profonde.
Donne à ma femme
Un mot d'adieu;
Et rends lui
Cette bague de mariage.
Et dis-lui que je suis mort ici,
Dans la steppe glacée
Et que j'emporte avec moi
Son amour. "
Vidéo de la musique interprétée par les choristes de Voronej en 1967 :
Et voici mon réveil en train de sonner :
Comment cela arrivait à réveiller qui que ce soit, mystère! mais j'adore...
Et dans la foulée, voici une...
Petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
L'ordre du gouvernement N°200 du 5 mars 1945 décidait la création d'un fabrique de montres en Arménie soviétique, à Erevan et une autre à Léningrad (la Fabrique de montres électriques de Léningrad, Электрические часы Ленинграда, future Chronotron).
Dans les années 50, la Fabrique de Montres d'Erevan (Ереванский часовой завод = ЕЧЗ) était devenu une immense entreprise, spécialisée dans la production de réveils matin et horloge de bureau de marque Sevani, Nairi et ЕЧЗ pour l'URSS, et Erevan pour l'exportation. Elle avait une capacité de production de 2,5 millions de réveils par an et exportait de 82 pays.
La chaîne de production
Réveil portant sur le cadran le logo avec le nom de la fabrique: Ереванский часовой завод
Ses modèles les plus célèbres sont le Sevani 6073 (avec un calibre à rubis) et le Sevani 5672 à 11 rubis, qui avait, en plus de la sonnerie, un dispositif musical. Un tel dispositif était aussi monté sur des réveil de marque Nairi. La fabrique d'Erevan ne produisant pas de mouvements, elle emboîtait dans ses réveils-matin des mécanismes produits par la Fabrique de Mécanisme de Précision TOCHMASH (cette dernière usine, implantée en 1933 dans la ville de Vladimir, produisait notamment des horloges de marque Vesna, "printemps").
La Fabrique de montre de Erevan produisit aussi de belles et rares montres-bracelet en or pour hommes et pour femme de marque Nairi. L'usine d'Erevan ne fabriquant pas de mouvement, ces montres emboîtaient des calibres produits par les fabriques de Moscou N°1 (2409, 2614.2H,...) et d'Ouglitch (1601A). La ligne de production des montres Nairi, à Erevan, a appartenu à une entité distincte de la Fabrique de montres d'Erevan, qui sappelait Ереванский завод художественных часов : Fabrique de montres d'art d'Erevan. Cette ligne de production fabriquait aussi des bracelets et des pendentifs en or qui étaient envoyés à d'autres Fabriques de montres (par exemple celle d'Ouglitch) pour y insérer des montres pour dame.
Une Naïri en or
Après l'effondrement de l'URSS, l'usine arrêta ses activités en 1991, puis les reprit sur une moindre échelle ; elle a été privatisée en 1995, des capitaux suisses s'y sont investi, et l'usine continue à produire, employant 450 personnes.
Le bâtiment de la fabrique0 aujourd'hui
Témoignage d'une ouvrière (traduction maison) :
Je m'appelle Emma Zakarian, j'ai 71 an, j'ai travaillé dans la fabrique de montres d'Erevan, en Arménie. J'avais environ 35 ans quand j'ai commencé à y travailler. J'avais choisi ce travail. C'était une usine propre. J'ai travaillé sur divers petites réveils-matin. Il y avait trois étages et de nombreuses pièces. Dans chaque pièce il y avait un type différent de travail. L'usine était un grand bâtiment gris, isolé, avec d'immenses portes en façade.
Je travaillait sur le ruban convoyeur. Les gens étaient assis sur deux files, de chaque côté de la machine. Pendant trois jours, nous devions être certaines que toutes les réveils fonctionnaient, et si il y en avait qui ne fonctionnaient pas correctement, nous devions les renvoyer pour qu'ils soient réparé. Tout devait être propre. Si vous constations que les réveils fonctionnaient parfaitement, alors nous les envoyions pour qu'ils soient vendus. Il y avait beaucoup de personnes qui travaillaient là, peut-être une centaine qui s'occupaient de deux cent montres. Je devais travailler 8 heures par jour. La fabrique n'était pas loin de ma maison : seulement à trois rues de distance.
Nous avions un instructeur qui nous venait nous expliquer comment améliorer notre travail, parce que chacun fait une partie de la tâche, et que si une personne faisait quelque chose de travers, cela affectait tout le monde. J'ai travail dans deux postes différents. Le premier où l'on réparait les montres, le second où on les montait. Nous vérifions si tout fonctionnait parfaitement. Dans une pièce il y avait toutes les montres dont nous devions nous occuper. Nous devions nous en occuper pendant huit heures, et il n'y en avait pas qu'une ou deux, mais beaucoup. Nous n'étions que trois dans cette pièce.
Toutes les sections étaient dans la même usine, juste à des étages différents. Travaillant avec le ruban convoyeur, nous devions travailler rapidement pour ne pas sauter quelques montres. S'il y avait une erreur, nous entraidions et corrigions cela rapidement ensemble, comme un groupe.
Dans l'usine, il avait-il beaucoup de monde, surtout en groupes, parce qu'il y avait beaucoup de montres. Dans la section où mon groupe et moi vérifions une dernière fois les montres, nous n'étions que trois. Le temps filait. Ce n'était pas très strict, nous nous installions ou nous asseyions à notre convenance.
Nous avions eu un temps déterminé pour manger, et des pauses d'environ une demi-heure. Nous nous chronométrions nous-même, ce qui était une façon pour nous de vérifier si les montres fonctionnait bien. Si quelqu'un avait besoin d'aller aux toilettes hors des temps de pause, il demandait à un autre de surveiller son poste pendant un moment, parce que si il partait simplement, tout le monde était dans l'embarras. Nous veillons les uns aux autres.
Si nous étions malades, une autre personne venait prendre notre place pour la journée. Il était essentiel que quelqu'un soit là tout le temps. Si c'était un de ces jours où vous étiez allé au travail, et où vous aviez commencé à vous sentir mal, vos collègues de travail aidaient.
Je n'ai jamais été blessée en travaillant là parce que je travaillait sur de petites montres et sur des réveils-matin. Comment quelque aurait-il pu se blesser ? La fabrique était très propre, mais ma santé n'était pas très bonne. Je ne pouvais aller travailler dans un endroit sale où l'on était payé mieux parce que je surveillais ma santé pour ne pas être une personne dont on devrait prendre soin.
Quand nous attendions que le ruban convoyeur se mette à tourner, nous pouvions nous asseoir et papoter. Nous n'étions pas toujours occupées. La fabrique était très bruyante. Le bruit des machines nous gênait quelquefois, mais quand nous parlions entre nous, nous ne le remarquions pas.
Les hommes et les femmes avaient un travail égal. Ils pouvaient travailler dans toutes les sections. Tout ce qui était requis était une bonne coordination entre l'oeil et la main. Parfois deux personnes travaillaient ensemble à une même montre.
Une journée typique commençait par le lever du matin, la préparation du casse-croûte et la sortie précipitée de la maison. J'étais amie avec mes collègues et nous partagions la nourriture. Je faisait le repas pour mes amies un jour et les autres jours elles le faisaient pour moi. Durant le repas, nous parlions de nos familles, de nos amis, ou simplement de ce qui s'était passé à la maison parce que durant les heures de travail, il n'était pas toujours possible de s'asseoir et discuter. Nous nous aimions bien et ainsi le travail ne nous a jamais ennuyé. Il y avait quelquefois des promotions lorsque le travail avait été très bien fait.
Il était assez facile d'obtenir un travail là parce que la fabrique avait besoin de nombreux travailleurs. Je n'ai jamais travaillé dans un poste dur, parce que je savais qu'après une longue journée de travail, je devais rentrer à la maison et m'occuper de plein de tâches domestiques. Quelques rares fois, il nous ont appelé au travail un samedi, mais jamais un dimanche. Mon mari était hospitalisé et je devais seule prendre soin de toute ma famille.
source
Dernière édition par Hanoi le Mar 5 Mai 2020 - 12:39, édité 2 fois
Hanoi- Expert
- Messages : 3645
Date d'inscription : 20/03/2015
Age : 61
Localisation : Bruxelles
Re: Réveil musical Naïri et petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
Réveil-matin chouette comme tout !
Doublé d'un post superbement documenté ! Merci !
Doublé d'un post superbement documenté ! Merci !
Erygyios- Commissaire politique
- Messages : 1378
Date d'inscription : 09/01/2016
Localisation : Fin fond de la steppe
Re: Réveil musical Naïri et petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
Toujours aussi bon.
Merci pour ces infos bien documentées.
Merci pour ces infos bien documentées.
Svoboda- Modérateur
- Messages : 2628
Date d'inscription : 26/05/2015
Age : 60
Localisation : Enfin où je veux
Re: Réveil musical Naïri et petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
Sans rire, Hanoï, je pense que tu la mérites...
Godevin- Commissaire politique
- Messages : 1282
Date d'inscription : 17/04/2016
Age : 66
Localisation : Dinant Belgique
Re: Réveil musical Naïri et petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
merci
Ces petites recherches sauvent mes finances: tant que je m'y absorbe, je ne fais pas de nouveaux achats...
C'est le seul dérivatif opérant... et encore
Ces petites recherches sauvent mes finances: tant que je m'y absorbe, je ne fais pas de nouveaux achats...
C'est le seul dérivatif opérant... et encore
Hanoi- Expert
- Messages : 3645
Date d'inscription : 20/03/2015
Age : 61
Localisation : Bruxelles
Re: Réveil musical Naïri et petite histoire de la Fabrique de Montres d'Erevan
Saines activités...
Il te faut néanmoins garder à l'esprit le slogan du catalogue Sekonda de 1974 :"Russian watches- a lot of Watch for a little money"
Là, c'est pour...rire...
Il te faut néanmoins garder à l'esprit le slogan du catalogue Sekonda de 1974 :"Russian watches- a lot of Watch for a little money"
Là, c'est pour...rire...
Godevin- Commissaire politique
- Messages : 1282
Date d'inscription : 17/04/2016
Age : 66
Localisation : Dinant Belgique
Sujets similaires
» Réveil Vitiaz et petite histoire de la Fabrique de Montres de Rostov
» Réveil Elektronika 2 et petite histoire de la Fabrique "Angstrem"
» Petite histoire de la Fabrique de Montres de Minsk
» Petite histoire de la Fabrique de Montres de Tcheliabinsk
» Petite histoire de la Fabrique de pièces de montres de Vitebsk
» Réveil Elektronika 2 et petite histoire de la Fabrique "Angstrem"
» Petite histoire de la Fabrique de Montres de Minsk
» Petite histoire de la Fabrique de Montres de Tcheliabinsk
» Petite histoire de la Fabrique de pièces de montres de Vitebsk
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Aujourd'hui à 11:34 par Steak
» Si vous ne deviez garder qu'une seule montre soviétique ?
Sam 7 Déc 2024 - 22:12 par Pierre le grand
» komandirskie sous-marin 341289
Sam 7 Déc 2024 - 21:27 par Christophe
» Franken ou non ? Komandirskie "Afgan"
Jeu 5 Déc 2024 - 17:42 par Christophe
» Amphibia 710640 modification lègére
Jeu 5 Déc 2024 - 12:55 par Andreas
» Elektronika « Cardiomonitor », la doctor watch soviétique du début des années 1980.
Jeu 5 Déc 2024 - 11:11 par Steak
» Prototype « montre de conducteur » électronique « Pogonya-M »
Mer 4 Déc 2024 - 7:51 par Steak
» [VENDUE]Poljot Alarm Urss
Dim 1 Déc 2024 - 15:21 par gp20
» Insolite - Camion Kamaz « Elekon » horloge
Sam 30 Nov 2024 - 22:14 par Steak
» [VENDS] Raketa big 0 small case
Sam 30 Nov 2024 - 0:40 par gp20
» Curiosité Vostok "Soldjer" - Serkisof ?
Jeu 28 Nov 2024 - 18:49 par Steak
» Commandes groupées Vostok (pièces de rechange)
Jeu 28 Nov 2024 - 18:39 par Steak
» [VENDS] Yema Navigraf
Mar 26 Nov 2024 - 20:28 par romuald21
» Passionné d'Italie
Mar 26 Nov 2024 - 20:12 par Trash
» Zanetti, cadran émail
Dim 24 Nov 2024 - 15:16 par Steak
» Poljot 2614 Ordre de la Guerre Patriotique « Président de l'Ukraine, Leonid Kuchma »
Dim 24 Nov 2024 - 11:43 par Christophe
» [VENDUE]Vostok Komandirskie 300 ans de la Marine Russe
Sam 23 Nov 2024 - 19:16 par gp20
» Un exemple de sabotage
Mer 20 Nov 2024 - 19:21 par Steak
» Komandirskie 2414.A/341290 « 70 ans d’Octobre » avec dédicace
Mar 19 Nov 2024 - 9:10 par Christophe
» Raketa 2628.H « Goroda » avec dédicace gravée
Lun 18 Nov 2024 - 21:33 par Christophe