Ma TTK-1 et petite histoire de la TTK-3
4 participants
Page 1 sur 1
Ma TTK-1 et petite histoire de la TTK-3
Je me suis offert cette Pobeda de la TTK-1.
C'est une TTK-1 de Petrodvorets emboîtant un mécanisme de la 1ère Fabrique de Montres de Moscou. Cette combinaison se retrouve souvent.
C'est en 1949 que la TTK-1 commence la production de Pobeda et on sait que la 1FMM a approvisionné la fabrique de Petrodvorets en ébauches, pièces et/ou mécanismes jusqu'au second trimestre 1954, la production des mouvements marqués TTK, entamée semble-t-il en 1950, n'aurait décollé qu'à partir de 1953.
Il y a un fil sur WUS sur cette question (voir ici).
C'est fin 1954 que la TTK prend le nom de Fabrique de Montres de Petrodvorets, mais des mécanisme marqués TTK-1 seront encore produits et emboités en 1955.
Tout ceci est l'occasion de revenir sur les fabriques TTK (Fabrique de Pierres Techniques de Précision, ou завод точных технических камней).
La première était le nom qu'à prise la Fabrique de Lapidaires de Petrodvorets en 1935, dans le cadre des premiers grands plans d'industrialisation de l'URSS. Les premières fabriques de montres avaient été fondées à Moscou, et les besoins en rubis d'horlogerie explosaient. Mais c'est depuis 1917 qu'elle produisait des pierres précieuses à usage technique (voir mon petit historique de la fabrique).
C'est en 1932 qu'à commencé à Petrodvorets la production de pierres synthétiques, et en 1934 la fabrique maitrise la technique de la production des pierres en ellipses. A la veille de la seconde guerre mondiale, la TTK-1 ne fourni pas que l'industrie horlogère mais plus de de 200 fabriques à travers tout l'URSS.
La production de pierres de la TTK de Petrodvorets étant insuffisante pour les besoins croissants de l'industrie, une seconde fabrique, appelée TTK-2 fut fondée en 1937 à Ouglish. La TTK 2 a produit des pierres de 1937 à 1949, et a commencé en plus une production de montres de 1950 à 1953. A propos de cette dernière fabrique, je vous renvoie à mon historique la concernant (voir ici).
Mais voici comme annoncé l'aventure de la TTK-3
Début juillet 1941, les nazis avancent vers Leningrad. Le vice-ministre Kozlov donne l'ordre d'évacuer la moitié des équipements et du personnel de la TTK-1. L'évacuation par voie ferrée vers l'Oural n'était pas possible en raison de la présence des troupes fascistes près de Moscou. Les machines et les travailleurs ont voyagé sur la Volga jusqu'à Oulianovsk sur la Volga, et puis par chemin de fer à Chrysostome.
L'équipement a été démonté et emballé en 8-10 jours et, accompagné de quelques centaines de travailleurs travailleurs et de leurs familles, il est embarqué dans quatre vieilles barges en bois remorquée par un bateau à vapeur. Le deuxième jour du voyage, le convoi subi un raid de l'aviation allemande dans la région de Rybinsk. Quelques jours plus tard, le convoi est touché par une bombe lors d'un seconde bombardement à hauteur de la ville de Gorki. Le convoi arrive à destination pour le 24e anniversaire de la révolution : la ville de Kusa, dans le district de Kusinsk (région de Tcheliabinsk)
L'installation fut extrêmement pénible : l'hiver était arrivé bien plus tôt que prévu, et il y avait de fortes chutes de neige et l'eau commençait à geler. Il a fallu débarquer hommes et matériel à 35 km de la gare la plus proche.
La fabrique devait être installée dans le bâtiment du « club » (centre social et culturel) de la ville de Kusa. L'inspection du bâtiment montra que le projet était irréaliste : la construction du bâtiment n'était pas achevée et il n'y avait ni personnel ni matériaux pour le finir rapidement. Le comité exécutif de la ville de Kusa attribua alors un bâtiment à deux étages (qui après-guerre allait regrouper les services administratifs de l'usine) et différents espaces pour que la production puisse commencer au plus vite.
Ouvrière au travail à la TTK-3
la pause repas
Au rez-de-chaussée du bâtiment a été installé l'atelier de taille de pierre, des magasins et d'autres ateliers aux étages. L'atelier de réparation mécanique a été installé au sous-sol de l'orphelinat de la ville, un atelier d'abrasion dans les anciens entrepôts des archives, dans le sous-sol du comité exécutif du district. L'administration et la gestion de la fabrique ont été installé dans les locaux du bureau de recrutement militaire.
Toutes les festivités de l'anniversaire de la révolution ont été annulées dans la ville. Les équipements ont été amenés à pieds d'oeuvre par tous les moyens possibles : véhicules hippomobile ou automobile, voire à dos d'hommes. Il a encore fallu quelques jours pour installer les produire et installer socles de fontes et les châssis en bois nécessaires à l'installation des machines. L'organisation de la production a été organisée en deux équipes de 12 heures avec une heure de pause pour le repas. Le responsable du Département de la Défense du Comité régional du Parti de Tcheliabinsk, Malkevich, s'était déplacé pour superviser l'installation de la fabrique.
Le 15 mai 1942, l'usine de Kusa, dont le nom officiel était "Fabrique 823 du Ministère de l'Arme des Mortiers" (Ministère qui avait la tutelle de toute l'industrie horlogère en grande partie reconvertie dans la production de fusées pour projectiles d'artillerie) a commencé la production.
A l'été 42, la seconde partie de l'équipement et du personnel de la TTK-1 a pu se rendre à Ouglitch où elle a intégré la TTK-2. Fin 1942, quelques autres équipements et travailleurs de la TTK-1 rejoignait les nouvelles installations improvisées de Kusa.
Alors que la production de pierres avait commencé à Kusa, la construction du bâtiment du club de la ville avait repris. Au fur et à mesure de l'avancement du chantier, les ateliers y ont déménagés sans perturber le rythme de production. Pour augmenter la production, en 1945, les rubis sont substitué aux agates.
Les ouvriers de la TTK-3 au défilé du 1er mai
L'équipe de foot de l'usine
La cité ouvrière
Les enfants des ouvriers lors d'une fête de la fabrique
En 1947, ce sont les trois TTK : Peterhof (TTK-1), Ouglich (TTK-2) et Kusa (devenue la Fabrique de pierres techniques de précision de Kusa - Кусинский завод точных технических камней – ou TTK-3) qui produisent des rubis.
En 1948 la production se développe en quantité et qualité. En 1949, l'URSS ne doit plus importer de pierres techniques, et dès 1950, elle commence à en exporter.
A partir de 1948-1950 une nouvelle technologie de taille des diamant (nécessaire notamment pour les trépans de l'industrie pétrolière) est introduite à Kusa, qui augmente considérablement la production. Une nouvelle avancée technologie a lieu en 1959 lorsque les outils à commande manuelles K-4 sont remplacé par des dispositifs semi-automatique K-129 – encore améliorés en 1978.
La Fabrique de pierres techniques de précision de Kusa a poursuivi ses activités, des premières agates montre mécanismes horlogers elle est passée à la production d'équipement de pointes comme des corindon pour la microchirurgie des yeux.
Le bâtiment historique de la TTK-3, rue Bubnov, à Kusa, qui a dans un second temps abrité l'administration de la fabrique.
Les installations industrielles.
Les photos de la fabrique TTK-3 au musée virtuel kusa : https://ok.ru/profile/567753681508/statuses/66819525790564
C'est une TTK-1 de Petrodvorets emboîtant un mécanisme de la 1ère Fabrique de Montres de Moscou. Cette combinaison se retrouve souvent.
C'est en 1949 que la TTK-1 commence la production de Pobeda et on sait que la 1FMM a approvisionné la fabrique de Petrodvorets en ébauches, pièces et/ou mécanismes jusqu'au second trimestre 1954, la production des mouvements marqués TTK, entamée semble-t-il en 1950, n'aurait décollé qu'à partir de 1953.
Il y a un fil sur WUS sur cette question (voir ici).
C'est fin 1954 que la TTK prend le nom de Fabrique de Montres de Petrodvorets, mais des mécanisme marqués TTK-1 seront encore produits et emboités en 1955.
Tout ceci est l'occasion de revenir sur les fabriques TTK (Fabrique de Pierres Techniques de Précision, ou завод точных технических камней).
La première était le nom qu'à prise la Fabrique de Lapidaires de Petrodvorets en 1935, dans le cadre des premiers grands plans d'industrialisation de l'URSS. Les premières fabriques de montres avaient été fondées à Moscou, et les besoins en rubis d'horlogerie explosaient. Mais c'est depuis 1917 qu'elle produisait des pierres précieuses à usage technique (voir mon petit historique de la fabrique).
C'est en 1932 qu'à commencé à Petrodvorets la production de pierres synthétiques, et en 1934 la fabrique maitrise la technique de la production des pierres en ellipses. A la veille de la seconde guerre mondiale, la TTK-1 ne fourni pas que l'industrie horlogère mais plus de de 200 fabriques à travers tout l'URSS.
La production de pierres de la TTK de Petrodvorets étant insuffisante pour les besoins croissants de l'industrie, une seconde fabrique, appelée TTK-2 fut fondée en 1937 à Ouglish. La TTK 2 a produit des pierres de 1937 à 1949, et a commencé en plus une production de montres de 1950 à 1953. A propos de cette dernière fabrique, je vous renvoie à mon historique la concernant (voir ici).
Mais voici comme annoncé l'aventure de la TTK-3
Début juillet 1941, les nazis avancent vers Leningrad. Le vice-ministre Kozlov donne l'ordre d'évacuer la moitié des équipements et du personnel de la TTK-1. L'évacuation par voie ferrée vers l'Oural n'était pas possible en raison de la présence des troupes fascistes près de Moscou. Les machines et les travailleurs ont voyagé sur la Volga jusqu'à Oulianovsk sur la Volga, et puis par chemin de fer à Chrysostome.
L'équipement a été démonté et emballé en 8-10 jours et, accompagné de quelques centaines de travailleurs travailleurs et de leurs familles, il est embarqué dans quatre vieilles barges en bois remorquée par un bateau à vapeur. Le deuxième jour du voyage, le convoi subi un raid de l'aviation allemande dans la région de Rybinsk. Quelques jours plus tard, le convoi est touché par une bombe lors d'un seconde bombardement à hauteur de la ville de Gorki. Le convoi arrive à destination pour le 24e anniversaire de la révolution : la ville de Kusa, dans le district de Kusinsk (région de Tcheliabinsk)
L'installation fut extrêmement pénible : l'hiver était arrivé bien plus tôt que prévu, et il y avait de fortes chutes de neige et l'eau commençait à geler. Il a fallu débarquer hommes et matériel à 35 km de la gare la plus proche.
La fabrique devait être installée dans le bâtiment du « club » (centre social et culturel) de la ville de Kusa. L'inspection du bâtiment montra que le projet était irréaliste : la construction du bâtiment n'était pas achevée et il n'y avait ni personnel ni matériaux pour le finir rapidement. Le comité exécutif de la ville de Kusa attribua alors un bâtiment à deux étages (qui après-guerre allait regrouper les services administratifs de l'usine) et différents espaces pour que la production puisse commencer au plus vite.
Ouvrière au travail à la TTK-3
la pause repas
Au rez-de-chaussée du bâtiment a été installé l'atelier de taille de pierre, des magasins et d'autres ateliers aux étages. L'atelier de réparation mécanique a été installé au sous-sol de l'orphelinat de la ville, un atelier d'abrasion dans les anciens entrepôts des archives, dans le sous-sol du comité exécutif du district. L'administration et la gestion de la fabrique ont été installé dans les locaux du bureau de recrutement militaire.
Toutes les festivités de l'anniversaire de la révolution ont été annulées dans la ville. Les équipements ont été amenés à pieds d'oeuvre par tous les moyens possibles : véhicules hippomobile ou automobile, voire à dos d'hommes. Il a encore fallu quelques jours pour installer les produire et installer socles de fontes et les châssis en bois nécessaires à l'installation des machines. L'organisation de la production a été organisée en deux équipes de 12 heures avec une heure de pause pour le repas. Le responsable du Département de la Défense du Comité régional du Parti de Tcheliabinsk, Malkevich, s'était déplacé pour superviser l'installation de la fabrique.
Le 15 mai 1942, l'usine de Kusa, dont le nom officiel était "Fabrique 823 du Ministère de l'Arme des Mortiers" (Ministère qui avait la tutelle de toute l'industrie horlogère en grande partie reconvertie dans la production de fusées pour projectiles d'artillerie) a commencé la production.
A l'été 42, la seconde partie de l'équipement et du personnel de la TTK-1 a pu se rendre à Ouglitch où elle a intégré la TTK-2. Fin 1942, quelques autres équipements et travailleurs de la TTK-1 rejoignait les nouvelles installations improvisées de Kusa.
Alors que la production de pierres avait commencé à Kusa, la construction du bâtiment du club de la ville avait repris. Au fur et à mesure de l'avancement du chantier, les ateliers y ont déménagés sans perturber le rythme de production. Pour augmenter la production, en 1945, les rubis sont substitué aux agates.
Les ouvriers de la TTK-3 au défilé du 1er mai
L'équipe de foot de l'usine
La cité ouvrière
Les enfants des ouvriers lors d'une fête de la fabrique
En 1947, ce sont les trois TTK : Peterhof (TTK-1), Ouglich (TTK-2) et Kusa (devenue la Fabrique de pierres techniques de précision de Kusa - Кусинский завод точных технических камней – ou TTK-3) qui produisent des rubis.
En 1948 la production se développe en quantité et qualité. En 1949, l'URSS ne doit plus importer de pierres techniques, et dès 1950, elle commence à en exporter.
A partir de 1948-1950 une nouvelle technologie de taille des diamant (nécessaire notamment pour les trépans de l'industrie pétrolière) est introduite à Kusa, qui augmente considérablement la production. Une nouvelle avancée technologie a lieu en 1959 lorsque les outils à commande manuelles K-4 sont remplacé par des dispositifs semi-automatique K-129 – encore améliorés en 1978.
La Fabrique de pierres techniques de précision de Kusa a poursuivi ses activités, des premières agates montre mécanismes horlogers elle est passée à la production d'équipement de pointes comme des corindon pour la microchirurgie des yeux.
Le bâtiment historique de la TTK-3, rue Bubnov, à Kusa, qui a dans un second temps abrité l'administration de la fabrique.
Les installations industrielles.
Les photos de la fabrique TTK-3 au musée virtuel kusa : https://ok.ru/profile/567753681508/statuses/66819525790564
Dernière édition par Hanoi le Sam 14 Juil 2018 - 22:04, édité 2 fois
Hanoi- Expert
- Messages : 3645
Date d'inscription : 20/03/2015
Age : 61
Localisation : Bruxelles
Re: Ma TTK-1 et petite histoire de la TTK-3
Encore un épisode de "une montre, une Histoire" par Hanoï...
Toujours aussi passionnant
Toujours aussi passionnant
LeDocteur- Pilier du Forum
- Messages : 3847
Date d'inscription : 07/08/2014
Age : 50
Re: Ma TTK-1 et petite histoire de la TTK-3
très intéressant merci beaucoup pour ces informations! Du coup tu m'as fait me poser des questions sur une montre que j'avais acheté un peut sur un coup de tête sur Ebay parce que je l'a trouvais jolie et qu'elle était vraiment pas chère:
https://i.servimg.com/u/f58/19/33/35/47/19357610.jpg
La même que toi mais avec des inscriptions différentes. Fabriqué donc dans un autre endroit? Mais dans lequel
Edit: Du coup j'ai recherché et trouvé ou elle a été fabriqué et je suis assez impressionné... voici les infos que j'ai trouvé (désolé c'est en anglais et j'ai pas trop le temps de traduire:
Poljot 1MWF Kirova
The history of "The First Moscow Watch Factory":
Founded in 1930 under orders from Stalin, the First State Watch Factory (Russian: Первый Государственный Часовой Завод - 1ГЧЗ) was the first Serious Soviet watch and mechanical movement manufacturer. Via its USA-based trading company Amtorg, the Soviet government bought the defunct Ansonia Clock Company of Brooklyn, New York in 1929, and the Dueber-Hampden Watch Company of Canton, Ohio. It moved twenty-eight freight cars full of machinery and parts from the USA to Moscow in order to establish the factory. Twenty-one former Dueber-Hampden watchmakers, engravers and various other technicians helped to train the Russian workers in the art of watchmaking as part of the Soviet's First Five-Year Plan. Interestingly, the movements of very-early products were still stamped "Dueber-Hampden, Canton, Ohio, USA" (examples of these watches are very collectible today). In 1935 the factory was named after the murdered Soviet official Sergei Kirov. As the Germans closed in on Moscow in 1941, the factory was hurriedly evacuated to Zlatoust (Russian: Златоу́ст). By 1943 the Germans were in retreat, and the factory moved back to Moscow, adopting the "First Moscow Watch Factory" name (Russian: Первый Московский Часовой Завод - 1МЧЗ).
https://i.servimg.com/u/f58/19/33/35/47/19357610.jpg
La même que toi mais avec des inscriptions différentes. Fabriqué donc dans un autre endroit? Mais dans lequel
Edit: Du coup j'ai recherché et trouvé ou elle a été fabriqué et je suis assez impressionné... voici les infos que j'ai trouvé (désolé c'est en anglais et j'ai pas trop le temps de traduire:
Poljot 1MWF Kirova
The history of "The First Moscow Watch Factory":
Founded in 1930 under orders from Stalin, the First State Watch Factory (Russian: Первый Государственный Часовой Завод - 1ГЧЗ) was the first Serious Soviet watch and mechanical movement manufacturer. Via its USA-based trading company Amtorg, the Soviet government bought the defunct Ansonia Clock Company of Brooklyn, New York in 1929, and the Dueber-Hampden Watch Company of Canton, Ohio. It moved twenty-eight freight cars full of machinery and parts from the USA to Moscow in order to establish the factory. Twenty-one former Dueber-Hampden watchmakers, engravers and various other technicians helped to train the Russian workers in the art of watchmaking as part of the Soviet's First Five-Year Plan. Interestingly, the movements of very-early products were still stamped "Dueber-Hampden, Canton, Ohio, USA" (examples of these watches are very collectible today). In 1935 the factory was named after the murdered Soviet official Sergei Kirov. As the Germans closed in on Moscow in 1941, the factory was hurriedly evacuated to Zlatoust (Russian: Златоу́ст). By 1943 the Germans were in retreat, and the factory moved back to Moscow, adopting the "First Moscow Watch Factory" name (Russian: Первый Московский Часовой Завод - 1МЧЗ).
rafiki- Membre du Parti
- Messages : 113
Date d'inscription : 06/10/2015
Age : 35
Re: Ma TTK-1 et petite histoire de la TTK-3
Merci Hanoï et Rafiki pour ces infos intéressantes
Voici quelques "estampilles" de mouvements 15 pierres datant probablement de cette époque
Bonne soirée et bon week-end
Voici quelques "estampilles" de mouvements 15 pierres datant probablement de cette époque
Bonne soirée et bon week-end
Godevin- Commissaire politique
- Messages : 1282
Date d'inscription : 17/04/2016
Age : 66
Localisation : Dinant Belgique
Re: Ma TTK-1 et petite histoire de la TTK-3
voici le cœur de la mienne:
Bonne soirée et bon we a toi aussi :-)
- Spoiler:
Bonne soirée et bon we a toi aussi :-)
rafiki- Membre du Parti
- Messages : 113
Date d'inscription : 06/10/2015
Age : 35
Re: Ma TTK-1 et petite histoire de la TTK-3
Elle semble correcte en tout point (le rochet marqué "pobeda", côtes de Genève, etc.)
Une Pobeda 103K classique de la 1ère Fabrique de montres de Moscou - future usine Poljot.
La voici au catalogue 1953
Une Pobeda 103K classique de la 1ère Fabrique de montres de Moscou - future usine Poljot.
La voici au catalogue 1953
Hanoi- Expert
- Messages : 3645
Date d'inscription : 20/03/2015
Age : 61
Localisation : Bruxelles
Sujets similaires
» Petite histoire du NII Chasprom
» Histoire d'une petite montre
» Petite histoire de l'usine ZIM
» Petite histoire de l'usine de Penza
» Elektronika 1 et petite histoire de l'Institut Pulsar
» Histoire d'une petite montre
» Petite histoire de l'usine ZIM
» Petite histoire de l'usine de Penza
» Elektronika 1 et petite histoire de l'Institut Pulsar
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sam 7 Déc 2024 - 22:12 par Pierre le grand
» komandirskie sous-marin 341289
Sam 7 Déc 2024 - 21:27 par Christophe
» Franken ou non ? Komandirskie "Afgan"
Jeu 5 Déc 2024 - 17:42 par Christophe
» Amphibia 710640 modification lègére
Jeu 5 Déc 2024 - 12:55 par Andreas
» Elektronika « Cardiomonitor », la doctor watch soviétique du début des années 1980.
Jeu 5 Déc 2024 - 11:11 par Steak
» Prototype « montre de conducteur » électronique « Pogonya-M »
Mer 4 Déc 2024 - 7:51 par Steak
» [VENDUE]Poljot Alarm Urss
Dim 1 Déc 2024 - 15:21 par gp20
» Insolite - Camion Kamaz « Elekon » horloge
Sam 30 Nov 2024 - 22:14 par Steak
» [VENDS] Raketa big 0 small case
Sam 30 Nov 2024 - 0:40 par gp20
» Curiosité Vostok "Soldjer" - Serkisof ?
Jeu 28 Nov 2024 - 18:49 par Steak
» Commandes groupées Vostok (pièces de rechange)
Jeu 28 Nov 2024 - 18:39 par Steak
» [VENDS] Yema Navigraf
Mar 26 Nov 2024 - 20:28 par romuald21
» Passionné d'Italie
Mar 26 Nov 2024 - 20:12 par Trash
» Zanetti, cadran émail
Dim 24 Nov 2024 - 15:16 par Steak
» Poljot 2614 Ordre de la Guerre Patriotique « Président de l'Ukraine, Leonid Kuchma »
Dim 24 Nov 2024 - 11:43 par Christophe
» [VENDUE]Vostok Komandirskie 300 ans de la Marine Russe
Sam 23 Nov 2024 - 19:16 par gp20
» Un exemple de sabotage
Mer 20 Nov 2024 - 19:21 par Steak
» Komandirskie 2414.A/341290 « 70 ans d’Octobre » avec dédicace
Mar 19 Nov 2024 - 9:10 par Christophe
» Raketa 2628.H « Goroda » avec dédicace gravée
Lun 18 Nov 2024 - 21:33 par Christophe
» Raketa UFO 2609.HA « 60 ans de l'URSS »
Dim 17 Nov 2024 - 22:46 par TIMH